Pendant les vacances scolaires les tournées continuent
Les chauffeurs vendeurs de nos camions magasins sont aussi des papas attentionnés. Alors pourquoi ne pas susciter chez leurs enfants des vocations précoces ?
Cette année la tournée dans la région de Toulouse tombait en même temps que les vacances de Pâques. L’un de nos papas-chauffeurs en a profité pour embarquer son fils pendant quelques jours. Et le gamin s’est pris au jeu : vente, accueil des clients comme un vrai Pro.
Briatexte
Briatexte à gardé de son passé médiéval une magnifique bastide fortifiée du XIV ème siècle. Finies les guerres de religion, Briatexte est depuis longtemps un petit hameau tranquille où le camion de Provence Outillage est le bienvenu.
Le plus difficile reste de manœuvrer le 48 tonnes sur un parking passablement encombré.
Verfeil
Cette journée nous amènera au très ancien village de Verfeil en Haute Garonne. Le village a lui aussi retrouvé sa douceur de vivre après de nombreux épisodes dramatiques vécus au fil des siècles, dont la deuxième guerre mondiale ne fut pas des moindres.
Salvagnac
Toujours dans la région de Toulouse, Salvagnac a su se reconstruire après les sanglantes instabilités des royaumes passés. Salvagnac est un gros bourg peu fait pour les semi remorques, mais avec un peu d’astuce, on arrive à stationner sans trop gêner pour la circulation.
Direction Carry le Rouet
Un peu d’air marin pour terminer la tournée, bien évaluer le passage sous le pont et un petit clin d’œil à Fernandel. Nous n’aurons pas comme lui le loisir de jouer à la pétanque en sirotant l’anisette mais le lieu respire les vacances, ce qui n’a pas échappé à Kévin qui aurait bien lâché les clients pour aller patauger à la plage.
Kévin
12 ans, une pêche d’enfer, installe la “vitrine” devant le camion sur les conseils de papa, connait les coulisses du camion comme sa poche, sert les clients, joue un peu à la DS, revient s’occuper des clients et empoche les pourboires !
Une bonne approche du monde du travail pour lui et une bonne occasion pour moi de profiter un peu de mes enfants.
Encore trop tôt pour le mettre au volant d’un 48 tonnes, mais peut-être une prédisposition au métier… l’avenir le dira !
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